- Assurer l’accès au logement des personnes LGBTQIA+ et dénoncer les pratiques discriminantes des propriétaires et des banques.
- Respecter les droits fondamentaux des demandeur∙euses d’asile en leur fournissant un logement, en accordant une attention particulière à la sécurité des personnes racisées et LGBTQIA+. Proposer des alternatives rapides en cas de violences LGBTQIA+phobes dans ces logements.
- Former toutes les personnes, y compris les membres du CGRA, FEDASIL et les interprètes, aux réalités des demandeur∙euses d’asile LGBTQIA+.
- Assurer un environnement de travail sûr pour les travailleur∙euses du sexe, en les protégeant contre les risques spécifiques à la profession sur le lieu de travail.
- Inclure une clause anti-discrimination mentionnant spécifiquement les personnes LGBTQIA+ dans toutes les institutions de soin aux personnes âgées. Un contrôle doit être effectué, et toute violation doit être signalée par les inspections responsables.
- Proposer un cadre légal clair pour la GPA, qui est tolérée en belgique. Le défaut de législation doit être comblé. Et remplacer le terme de “femme gestatrice” par “personnes gestatrices” dans les textes officiels (comité bioéthique).
- Interdire l’exclusion des travailleur·euses du sexe dans les refuges et logements d’urgence.
- Offrir une place pour tou·tes les demandeur·euses d’asile et mettre ainsi fin aux nombreuses violations des obligations internationales.
- Accorder prioritairement l’accès aux places ouvertes aux demandeur·euses d’asile vulnérables LGBTQIA+.
- Unifier les différentes voies de signalement afin d’avoir des statistiques plus précises. Créer un observatoire des violences faites aux LGBTQIA+.